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La Rédaction
Démocratie Participative
\n13 juin 2025
Le président Trump a déclaré qu’il prévoyait de signer un décret accordant l’amnistie aux travailleurs agricoles et hôteliers migrants afin qu’ils ne soient pas expulsés.
« Ils sont là depuis 20, 25 ans, ils ont fait du bon travail, le propriétaire de la ferme les adore et tout le reste. »
President Trump said that he is planning an executive order to grant migrant farm and hotel workers amnesty from deportation.
“They’ve been there for 20, 25 years and they’ve worked great and the owner of the farm loves them and everything else.”
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— AF Post (@AFpost) June 12, 2025
Adolf Hitler disait que l’Amérique était le seul pays qui suscitait chez lui une profonde répulsion et qu’il préférait n’importe quelle nation européenne à cette monstruosité multiraciale.
Il avait, encore une fois, raison.
Il faut n’avoir jamais été dans une de ces colonies occidentales extra-européennes pour croire qu’elles pourraient accueillir durablement une présence aryenne.
Il faut surtout être complètement ignorant de la fondation biblique de l’Amérique, abrahamique donc, pour s’imaginer que cette monstruosité pourrait avoir un destin autre qu’un destin juif.
Certes, il y a des Américains de race blanche exemplaires, pour certains parmi les meilleurs représentants de la race blanche, mais ils restent des individus isolés dans une masse, aussi acculturée que bâtarde, qui se fait fort de les rejeter, parfois jusqu’à la persécution.
L’Amérique est spirituellement juive depuis le commencement.
Pour le comprendre, il faut revenir à sa fondation, quand les juifs non-circoncis – le christianisme consiste à larper des juifs du premier siècle – du May Flower posèrent le pied en Amérique.
Se prenant pour les hébreux chassés d’Égypte par le pouvoir national-socialiste pharaonique, ils voulurent y recréer la Judée militante de Moïse.
Ces colons ne tardèrent pas à être dépassés par la dynamique propre au matérialisme juif.
Construite sur le dollar et la Torah, “l’Ancien testament”, l’Amérique n’a pris vie que pour servir la race juive.
Trump, lui-même un pur produit de cette barbarie hébraïque, n’a pas d’âme en propre. Comme tout Américain, il l’a délégué aux rabbins et aux banquiers (ce sont les mêmes).
Ce marché où tout se vend et s’achète, à commencer par le bétail blanc, doit périr de sa logique.
