Pour 2027, Begin-Retailleau s’engage à défendre un ticket restau abordable pour les boomers – Démocratie Participative

Pour 2027, Begin-Retailleau s’engage à défendre un ticket restau abordable pour les boomers

La Rédaction
Démocratie Participative
\n18 juin 2025

 

Retailleau-Begin lance sa campagne présidentielle.

Une campagne 100% sarköziste.

Au programme : des restaurants pas chers pour les boomers grâce aux Noirs d’Afrique régularisés par Thierry Marx.

Vous allez aimer le Mont Saint-Michel des cuisiniers maliens.

Begin est constant.

Vivement le second tour de l’élection présidentielle où Retailleau appellera à faire barrage à Bardella au profit d’Édouard Philippe ou de Gabriel Attal, consacré par le groupe Bilderberg.

L’Opinion :

Gabriel Attal et Edouard Philippe vont passer un week-end ensemble. Mais pas tous seuls : du 13 au 15 juin, ils se retrouvent à Stockholm pour participer à la rencontre annuelle du groupe de Bilderberg. Les deux anciens Premiers ministres, rivaux potentiels pour 2027, sont les deux seuls politiques français invités par ce cénacle très fermé pour cette édition 2025. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, sera présente. J.D. Vance, le vice-président américain, pourrait l’être.

Le groupe Bilderberg désigne qui accède à la présidence française, l’élection en tant que telle n’est qu’une formalité pour divertir la plèbe. Une fois désigné, le candidat bénéficie de l’appui massif des médias et des cercles financiers.

Macron a dû prêter allégeance avant d’entamer sa course à la présidentielle en 2015.

Sans le feu vert, pas de victoire possible.

Visiblement, le groupe hésite encore entre Philippe et Attal, la raison étant que les juifs, en ces temps messianiques, veulent désigner des juifs à tous les postes de commande principaux — ce qui est le principal handicap de Philippe qui reste un pauvre goy dont la docilité est par définition suspecte.

En attendant, Retailleau-Begin a pour mission de priver le RN d’autant de voix que possible au premier tour.

C’est exactement ce qu’il fait grâce à une agitation médiatique destinée à mystifier les goyim crédules qu’on appelle les électeurs.

Et bien sûr, pour ce qui est des fondamentaux, la défense inébranlable de la suprématie juive est au programme.

À ce niveau, les juifs préfèreront toujours l’original à la copie, peu importe les efforts de l’alcoolo-tabagique pour se faire adouber.

Cela éclaire à tout le moins sur la réalité du pouvoir.

C’est ce cirque juif auquel résiste l’Iran, peu importe ce que l’on peut penser de la forme de son gouvernement. En dernière analyse, il incarne la résistance perse à la voracité hébraïque.