La Rédaction
Démocratie Participative
\n29 mai 2025
La justice de cette république urine sur les cadavres de gosses blancs. On le savait, mais elle a tenu à le rappeler aux plus crédules.
Un mineur afghan âgé de 16 ans a été condamné ce mercredi par le tribunal pour enfants de Châteauroux à 8 ans de prison ferme pour le meurtre de Matisse en avril 2024. Le procès avait débuté à huis clos lundi. Il risquait une peine maximale de 15 ans de prison en raison de sa minorité, mais le tribunal a retenu une altération de son discernement.
Le 27 avril 2024, Matisse, 15 ans, était poignardé à mort au pied d’une barre d’immeuble de Châteauroux par ce mineur afghan, du même âge, qu’il connaissait depuis quelques semaines. Le motif de cette agression sauvage est futile et dérisoire. Matisse aurait critiqué un morceau de rap écrit par l’autre adolescent. Vexé, ce dernier aurait alors proposé à Matisse d’en découdre en «un contre un» dans un hall d’immeuble. Furieux d’avoir perdu la bagarre, il serait ensuite allé chercher un couteau chez lui avant de poignarder Matisse à plusieurs reprises au thorax et dans la région du cœur.
Le fair play n’est pas le fort de ces populations.
Le week-end précédant le meurtre de Matisse, le condamné avait été interpellé après avoir mis une lame sous la gorge d’un jeune homme dans un parc de Châteauroux pour lui voler son téléphone portable. L’adolescent, qui n’hésitait pas à se filmer avec un couteau et à afficher son hostilité envers la police sur les réseaux sociaux, avait alors été placé sous contrôle judiciaire. Avant de commettre l’irréparable quelques jours plus tard.
Fan de foot et de sports de raquette, Matisse était promis à un bel avenir dans la restauration. Le jeune homme avait entamé un CAP de cuisinier au centre de formation d’apprentis de Châteauroux. Avant l’ouverture du procès, son père, Christophe, se souvenait avec tendresse et émotion d’«un gamin bien dans sa peau, plein d’humour, blagueur, taquin, un poil timide au début mais très sociable», un adolescent «qui n’aimait pas du tout les conflits et avait tendance à apaiser le monde».
Qui ne se rappelle pas de ce demeuré de père ?
C’est l’ahuri qui a pondu cette bannière de la honte terminale, avec ce slogan de boloss affublé d’une loutre en “mémoire” de son fils assassiné par l’envahisseur afro-musulman.
Une véritable bannière aurait eu pour slogan : “Vengeance”.
Quant à ces stupides marches blanches, c’est à ne plus y tenir.
Par sa connerie congénitale, son absence totale d’instinct de survie, bref, pour avoir agi en sa qualité de produit fini de cette démocratie femelle où l’homme blanc est châtré dès l’école maternelle, son père est le premier responsable du drame.
Énergie vitale : 0,1%
La première information de ce “procès” est que ledit Afghan restera aussi longtemps qu’il vivra en France.
La deuxième information de ce “procès” est que ledit Afghan sortira de prison en 2028, ce qui donne une bonne mesure de ce que vaut la vie d’un Blanc dans la France démocratisée de 2025.
Enfin, la troisième et dernière information de ce “procès” est que si cela vous arrive, qu’aux dieux ne plaisent, vous devez vous faire justice vous-même.
C’est toute cette famille afghane qu’une véritable justice ferait pendre à l’entrée de la ville de Châteauroux avec de la corde à piano, avant de laisser les charognes pourrir sur place pendant deux ou trois mois, le temps d’édifier la vermine étrangère.
Nous allons collectivement devoir revenir aux méthodes médiévales si nous voulons résoudre les difficultés posées par la “diversité”.
Et puisque j’aborde le sujet, savez-vous ce qui occupe aujourd’hui le site du glorieux gibet de Montfaucon que l’on voit en arrière plan sur la peinture ci-dessous ?
Le square Amadou-Hampaté-Bâ, dans le 10e arrondissement de Paris, du nom d’un improbable nègre musulman du Mali !
Il va falloir tout revoir, de A à Z.
C’est rien de le dire.