Mélanie, surveillante, mortellement surinée après une fouille “anti-couteaux” – Démocratie Participative

Mélanie, surveillante, mortellement surinée après une fouille “anti-couteaux”

La Rédaction
Démocratie Participative
\n10 juin 2025

Nogent, Haute-Marne. Coupe gorge en voie de tiers-mondisation.

Des nouvelles des brainwashés.

Ils sont raides morts.

Le Dauphiné Libéré :

Un élève a mortellement blessé une assistante d’éducation avec un couteau, ce mardi matin devant le collège Françoise-Dolto de Nogent, en Haute-Marne. Les faits se sont déroulés vers 8h15, à l’arrivée des élèves dans l’établissement.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agression s’est produite alors que les gendarmes locaux menaient une opération de fouilles des sacs des élèves. Celles-ci ont été multipliées, à l’entrée des établissements scolaires, depuis l’agression au couteau survenue dans un collège-lycée de Nantes, en février. Depuis, entre le 26 mars et le 26 mai, environ 6000 opérations de fouilles de sacs aux abords des établissements de l’Hexagone ont été dénombrés.

Les fouilles de sacs censées renforcer la sécurité des établissements scolaires se convertissent en meurtres.

Avouons que c’est un plot twist inattendu.

A Nogent, l’adolescent a agressé la surveillante avant d’arriver à hauteur des gendarmes. Il lui a assené plusieurs coups de couteau.

La victime, grièvement blessée à l’arrivée des secours, a été prise en charge sur place. Mais elle n’a pas pu être sauvée. Son décès a été constaté un peu moins de deux heures plus tard.

Les gendarmes présents sur place sont immédiatement intervenus, et ils ont interpellé le jeune homme. Un sous-officier de la brigade de Nogent a été légèrement blessé lors de l’intervention.

Âgé de 15 ans et élève de l’établissement, l’adolescent suspecté d’avoir agressé la surveillante a été placé en garde à vue pour des faits qui peuvent être qualifiés d’homicide volontaire. On ignore pour l’heure les raisons de son geste, notamment s’il avait un lien avec le contrôle de son sac, par les gendarmes, qui l’attendait à l’entrée de l’établissement.

L’enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Reims. C’est dans ses locaux que se trouve le jeune homme.

Âgée de 31 ans, Mélanie G., assistante d’éducation au collège Françoise-Dolto de Nogent, vivait à Sarcey, à 10 kilomètres de l’établissement scolaire où elle travaillait. Elle était conseillère municipale dans ce petit village d’une centaine d’habitants. Elle avait un enfant, un fils de 4 ans, né au CHU de Dijon.

Il s’agit de Mélanie Grapinet.

Nous n’avons pas l’identité du meurtrier, mais il s’agit très probablement d’un Afro-maghrébin quelconque ou d’un Tzigane.

Les petits Blancs traînent rarement avec des lames pour suriner des surveillantes à la première opportunité.

Reste qu’il s’agit d’un adolescent de 15 ans, si bien que la peine maximale prévue pour un homicide volontaire est ramenée à 15 ans au lieu de 30 ans pour un adulte.

Notre oiseau de couleur sera libre d’ici ses 21 ou 22 ans, au mieux compté, et il sera placé dans un de ces machins sociaux “d’éducation prioritaire” où il fréquentera d’autres sociopathes afro-maghrébins qui sauront parfaire son éducation criminelle.

Mélanie, elle, a pris perpétuité, tout comme son enfant de 4 ans qui vivra toute sa vie durant sans sa mère.

Je vais me répéter, mais c’est aussi nécessaire que pédagogique : un État responsable, c’est-à-dire un État blanc, ferait arrêter toute la smala dudit meurtrier, jusqu’aux cousins issus de germains, la ferait rudement torturer, avant d’exécuter l’ensemble en place publique et d’exhiber les cadavres à l’entrée de la ville jusqu’à ce que les corbeaux et les chiens en aient fini avec les charognes.

Je propose le retour du supplice de la roue, de l’écartèlement, du fouet, de l’écorchement, de la castration à vif, du bûcher, de l’ébouillantement, de la décapitation, de l’écrasement des jointures à la masse, et de toute la gamme des tourments que l’on croira bon d’ajouter à cette liste.

Pour faire bonne mesure, le dernier bougnoule (ou nègre) des 30 communes avoisinantes devrait défiler devant les carcasses des suppliciés avec une mise en garde ferme : toucher un homme blanc ou une femme blanche se convertira automatiquement en catastrophe pour la communauté ethnique dont provient l’auteur.

Mettons 100 têtes pour un meurtre.

Certains hurleront au sadisme.

Nullement, bien au contraire.

En quelques semaines de ce régime, on entendrait plus un seul mot de travers de la part d’un seul raton de France, et l’ordre serait rétabli — c’est-à-dire la légitime domination blanche dans le pays.

Nous avons besoin d’une dictature raciale féroce, et de rien d’autre.

Voilà le but.

Tout le reste est une perte de temps.