La Rédaction
Démocratie Participative
30 mai 2025
Formulé autrement, il veut dire que la France n’a pas de définition.
Meurtre dans une mosquée du Gard: « La France ne se définit ni par le sang, ni par une race, ni par une religion, ni par une identité figée », déclare Emmanuel Macron pic.twitter.com/R1pEzq0Ye7
— BFMTV (@BFMTV) April 30, 2025
C’est une constante.
En même temps, c’est un peu le juif Attali qui l’a lancé.
Dans le fond, et même si les juifs ont exploité le filon depuis le début, ce n’est pas nouveau. C’est la même doctrine cosmopolite depuis 1789, avec la transformation de la France en un mouvement millénariste à prétention universelle construit sur un tissu d’abstractions.
Une secte, en somme.
Depuis la nuit du 4 août, les indigènes ont été expropriés — et pas l’inverse ! –, sans droits historiques sur la terre de leurs ancêtres, quand bien même leurs ancêtres ont construit le pays.
Pour l’étranger, la France est un miracle.
Pour l’indigène, c’est une peine à perpétuité.
L’égalité de droits donnée aux juifs, en 1791, a été le clou dans le cercueil. La pouillerie mondiale devait suivre, simple question logique.
À présent, le dernier bougnoule « naturalisé » a autant de droits — et en fait davantage — que l’héritier des tribus gauloises aux yeux clairs.
Et pour naturaliser, ça naturalise.
Quand des prostituées thaïlandaises sont ce que vous avez de plus blanc en stock, vous savez que Robespierre parlera en petit nègre à titre posthume
Le petit numéro de Macron, qui n’aime rien tant que d’insulter les autochtones qui remplissent ses caisses, a eu lieu devant les légionnaires, histoire de rappeler à tout le monde que les quelques 500 000 envahisseurs qui débarquent chaque année en France sont tous des patriotes en puissance.
C’est un tour de passe-passe, bien sûr.
Le premier qui gueule un peu en disant que c’est une arnaque est traité d’infâme tire-au-flan, de traître à l’armée, de voleur de CNI qui devrait quitter la France séance tenante, non sans avoir été rossé réglementairement par une caserne entière de ces képis verts, « Français par le sang versé ».
Peu importe, la « France », chacun a la sienne, et les juifs l’ont pour tout le monde.
Charger exclusivement Macron serait un peu abusif.
Reconfigurés par deux siècles de constructivisme jacobin, les Français sont très majoritairement d’accord avec cette affirmation.
C’est la contradiction de la chose.
L’identité d’un Français est négative : produit du libéralisme guillotineur, il est la somme de ce qu’il n’est pas (ou plus) ou ne veut pas être. Demander au Français ce qu’il est, c’est lui demander son avis sur l’hypothèse de Riemann.
Pour tout Français qui se respecte et paye ses impôts, la France contemporaine est un simple agrégat d’individus unifiés par « l’État », dieu tutélaire à deux faces, celle, maternelle, de la CAF, et celle, colérique, du Fisc, notre belle et chère république juive, avec ses saints laïques, qui dicte ce qui est légal ou pas à la plèbe goye, très heureuse de se voir soulager de considérations si harassantes.
Et puis le Français est enthousiaste à l’idée de vivre dans un pays de métèques.
Ça le fait voyager à moindre frais.
Voyager gratis est d’ailleurs dans la première ligne de sa constitution.
ARTICLE PREMIER.
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
Pareil lavage de cerveau séculaire ne se défera pas avec l’État négro-sémitisé qui veut la peau du dernier descendant de Vercingétorix. Il ferait une drôle de tête, le roi de toutes les Gaules, à la vue du présent chantier.
Je suis un ferme adepte du démantèlement, par tous les moyens, ouverts ou larvés, rapides ou lents, de cette machine anti-aryenne mise en mouvement par 6 millions (Hosanna) de fonctionnaires placides qu’on appelle « l’État ».
« L’État ? Qu’est-ce que cela ? Allons ! Ouvrez vos oreilles, car je vais vous dire un mot sur la mort des peuples. L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement ; et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le peuple. » C’est un mensonge ! » Ainsi parlait Zarathoustra, Friedrich Nietzsche
L’anarchie ?
Le troupeau n’en veut pas, c’est ainsi.
Il lui faut un maître, cruel de préférence, le seul qu’il craint à défaut de respecter.
Quitte à en avoir un, autant qu’il soit d’idée aryenne.
Ce qui est sûr, c’est que la fonction de l’État en France est, en profondeur, de négrifier, d’opérer par le nègre un retour à la préhistoire, au bon sauvage de Rousseau, le fondateur du mythe français contemporain.
La France est à tout le monde, sauf aux Blancs (ces salauds).
Viendra le jour où quelqu’un remarquera que « France » vient de Francs, et que c’est très odieux, pour un pays cafre et musulman, d’être affublé d’un nom raciste.