La Rédaction
Démocratie Participative
\n03 juin 2025
Les provocations de Zelensky ne vont plus tarder à se convertir en pluie de missiles russes sur les capitales européennes.
Remarquez, ça ne tuerait que des gens marron ou presque.
L’OTAN demande aux États membres européens de multiplier par cinq leurs capacités de défense aérienne terrestre, alors que l’alliance s’efforce de combler une lacune importante face à la menace d’une agression russe, selon des sources proches du dossier.
Cette augmentation sera discutée lors d’une réunion des ministres de la Défense de l’OTAN à Bruxelles le 5 juin, ont déclaré ces sources sous couvert d’anonymat, les délibérations se déroulant à huis clos.
L’objectif quintuple serait collectif pour les États membres européens de l’alliance, les niveaux individuels variant au final, ont déclaré ces personnes. Le calendrier de cette initiative de défense aérienne n’était pas clair.
Les ministres devraient déjà approuver cette semaine l’un des engagements les plus ambitieux en matière d’augmentation des stocks d’armes depuis la guerre froide, dans le cadre des efforts européens et canadiens visant à se réarmer et à réduire leur dépendance vis-à-vis des systèmes de défense américains.
La réunion de Bruxelles jettera les bases du sommet des dirigeants qui se tiendra les 24 et 25 juin à La Haye.
Le renforcement des armements s’inscrit dans le cadre d’une ambition plus large visant à augmenter les dépenses de défense de l’ensemble de l’alliance.
Sous l’impulsion du président américain Donald Trump, les membres de l’OTAN se rallient autour d’un objectif de dépenses représentant 5 % du PIB, dont 3,5 % pour la défense de base et 1,5 % pour les dépenses liées à la défense dans des domaines tels que les infrastructures, la cyberdéfense et la préparation civile.
« Nous ne sommes pas en guerre, mais nous ne sommes pas en paix non plus », a déclaré le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, lors d’une réunion à Vilnius le 2 juin. « Nous devons continuer à renforcer notre dissuasion et notre défense, ce qui signifie nous orienter vers une préparation totale à la guerre. »
Ce maniaque de Mark Rutte est le Macron néerlandais
Selon un haut responsable militaire européen, les membres de l’OTAN ont un besoin urgent de renforcer leurs systèmes de défense aérienne au sol qui les protègent contre les menaces, notamment les drones, les missiles et les avions de combat de plus en plus sophistiqués.
L’alliance a réduit ces systèmes au cours des trois dernières décennies, l’attention de l’OTAN s’étant déplacée hors de la sphère de la guerre froide pour se concentrer sur les menaces au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, a déclaré le responsable.
Ce calcul a changé depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022 et les craintes croissantes des États membres de la frange orientale de l’OTAN que le Kremlin ne soit qu’à quelques années de pouvoir attaquer.
Les systèmes de défense aérienne sont au cœur de cette montée en puissance et figurent parmi les équipements les plus coûteux que l’alliance entend acquérir.
L’Allemagne a proposé de prendre la tête des projets communs de l’Union européenne en matière de défense aérienne, Bruxelles ayant exhorté ses membres à investir conjointement dans des domaines d’intérêt commun.
Le chancelier Friedrich Merz est déterminé à accélérer les dépenses de défense de Berlin et à investir des milliards d’euros dans la défense aérienne, selon une personne proche des délibérations à Berlin.
Cela inclura l’extension de l’initiative European Sky Shield, lancée par le prédécesseur de M. Merz, M. Olaf Scholz. Ce projet, soutenu par l’OTAN, vise à mettre en place un système européen de défense aérienne basé au sol et destiné à abattre les missiles balistiques.
En réponse à une demande de commentaires, un responsable de l’OTAN a déclaré que la défense aérienne et antimissile, les armes à longue portée, la logistique et les forces terrestres « font partie de nos principales priorités ».
« Nous continuons à revoir notre posture militaire, à moderniser notre structure de commandement et à renforcer notre défense aérienne et antimissile intégrée », a déclaré le responsable.
Compte tenu de la propension de l’OTAN et de Zelensky à recourir aux drones pour cibler les infrastructures civiles russes, et au vu des progrès techniques en matière de drones, nous pourrions assez vite nous retrouver face des situations étranges en représailles en Europe.
Le service de sécurité ukrainien a mené une nouvelle opération spéciale unique en son genre et a frappé le pont de Crimée pour la troisième fois -cette fois-ci sous l’eau ! L’opération a duré plusieurs mois. Les agents du @ServiceSsu ont placé des explosifs sur les supports de cette structure illégale. Et aujourd’hui, à 4h44, sans aucune victime civile, le premier engin explosif a été déclenché ! Les piliers sous-marins des supports du pont ont été gravement endommagés au niveau du fond marin – grâce à 1 100 kg d’explosifs en équivalent TNT. En conséquence, le pont est maintenant dans un état critique.
The Security Service of Ukraine has carried out a new, unique special operation and struck the Crimean Bridge for the third time — this time underwater!
The operation lasted several months. @ServiceSsu agents planted explosives on the supports of this illegal structure. And… pic.twitter.com/lgu6ANR3K1— Defense of Ukraine (@DefenceU) June 3, 2025