L’intervention américaine contre l’Iran se précise – Démocratie Participative

L’intervention américaine contre l’Iran se précise

La Rédaction
Démocratie Participative
\n16 juin 2025

 

Le golem orange est très occupé à préparer l’entrée en guerre des États-Unis contre l’Iran.

Le président français Emmanuel Macron, avide de publicité, a déclaré à tort que j’avais quitté le sommet du G7 au Canada pour retourner à Washington afin de travailler sur un « cessez-le-feu » entre Israël et l’Iran. C’est faux ! Il n’a aucune idée de la raison pour laquelle je me rends actuellement à Washington, mais cela n’a certainement rien à voir avec un cessez-le-feu. C’est bien plus important que cela. Que ce soit intentionnel ou non, Emmanuel se trompe toujours. Restez à l’écoute !

Trump a été financé à hauteur de 100 millions de dollars par la veuve de l’oligarque juif Adelson.

Il leur appartient corps et âme.

Les juifs veulent leur guerre contre l’Iran depuis toujours et le golem orange ne peut que faire leurs volontés.

Reste que cet escroc n’a pas été élu pour être le Bush 2.0, mais pour mettre un terme à la culture des interventions américaines catastrophiques à l’étranger.

La base commence à sérieusement douter.

Des gens influents s’y opposent, comme Carlson. Hier, il a publiquement pris fait et cause contre la guerre à l’Iran aux côtés de Bannon.

Le golem orange a explosé de rage en apprenant que l’un des soutiens les plus influents de son mouvement ne voulait rien entendre de cette nouvelle guerre juive.

Que quelqu’un explique à Tucker Carlson, cet excentrique, que « L’IRAN NE PEUT PAS POSSÉDER D’ARME NUCLÉAIRE ! »

Trump ne peut pas s’empêcher d’insulter ses meilleurs appuis, à l’exception des juifs.

À la chambre des représentants, Marjorie Green, une très véhémente partisane de Trump, a elle aussi annoncé que c’était une ligne rouge.

De son côté Massie, le seul député républicain qui tienne la route ou presque, a annoncé la proposition d’un vote sur la nécessité pour le golem orange d’obtenir l’aval du parlement américain pour tout engagement en Iran.

Ce n’est pas notre guerre.

Mais si c’était le cas, le Congrès devrait trancher cette question conformément à notre Constitution.

Je présenterai demain une résolution bipartisane sur les pouvoirs de guerre afin d’interdire notre implication.

J’invite tous les membres du Congrès à coparrainer cette résolution.

Un président américain fait ce qu’il veut militairement, bien que ce soit effectivement anticonstitutionnel, mais ça donne le ton.

Inversement, les bellicistes les plus fanatiques sont frénétiques, comme la fille de McCain.

La présidence Trump est terminée depuis des mois déjà, mais l’agonie se prolonge et la guerre contre l’Iran serait, si elle avait lieu, le clou dans le cercueil de cette épave politique.

Parmi les conséquences directes d’une telle guerre, l’envolée des prix du pétrole et du gaz, donc de tous les biens de consommation, avec, inévitablement, un impact désastreux pour le consommateur américain qui importe des quantités énormes de produits manufacturés.

Si on y ajoute la non moins désastreuse politique de taxes douanières mise en place par cet octogénaire erratique, une lourde défaite aux élections législatives de mi mandat deviendrait inévitable.

Après quoi, Trump ne déciderait plus de rien au plan intérieur, et serait englué dans un chaos dantesque en politique extérieure. Deux années avant la fin de sa présidence, son autorité s’évaporerait comme neige au soleil.

De son côté, Netanyahu annonce déjà vouloir assassiner Khamenei, le leader iranien, pour s’assurer d’une guerre apocalyptique au Moyen-Orient.