Crise de succession : attaque sauvage de Mariama contre Bardella ! – Démocratie Participative

Crise de succession : attaque sauvage de Mariama contre Bardella !

La Rédaction
Démocratie Participative
\n29 mai 2025

 

MAJ

Mariama sent le péril masculin.

Et c’est sans surprise depuis une île à cocotiers des DOMTOM qu’elle a brutalement et fielleusement attaqué Jordan Bardella, le qualifiant d’inculte sur la question des Noirs insulaires sous perfusion d’argent blanc.

Je note que Bardella aurait pu se taire et botter en touche, mais qu’il a choisi de renvoyer l’alcoolo-tabagique dans ses six mètres.

Bardella a répond qu’en effet, sur la question des îles à cocotiers, Mariama jouait à domicile, mais qu’il se moque comme d’une guigne de ses divagations et qu’il est le maître de la situation.

Cette riposte va plonger l’affreuse Marine Le Pen dans une crise d’hystérie totale.

On ne va retenir de sa sinécure calédonienne que cet échange et les gens vont commencer à se positionner, surtout contre elle.

Il faut impérativement nourrir l’incendie, cibler sans cesse l’affreuse Marine Le Pen sur les réseaux sociaux, l’agonir d’injures, et plébisciter Bardella comme seul et unique leader du RN.

Nous avons les moyens de précipiter la crise jusqu’à l’effondrement complet de la reine de Mayotte.

Et bien ce mécène Édouard Stérin fait une oeuvre de salubrité publique.

Il s’agit de ce sondage qui place Bardella dans la meilleure position face à Édouard Philippe, le candidat des Boomers radicalisés.

Stérin est généralement présenté comme un homme hétérosexuel qui n’aime guère les sodomites, c’est à tout le moins ce que disent les médias et c’est suffisant pour terrifier la cour d’invertis de Mariama. Les réactions de Tanguy sont révélatrices à cet égard.

La bande mariniste n’existe que grâce à l’affreuse Marine Le Pen et cessera d’exister sitôt Marine Le Pen hors du jeu. Ces gens s’accrochent donc à la candidature de cette barrique, n’ayant aucune autre carte en main.

Imposer Bardella à sa place me semble, dans l’immédiat, logique et absolument nécessaire. Comme les juges ne pourront que confirmer la condamnation prononcée en première instance contre l’affreuse femme à chats, qui a détourné sciemment tout ce qu’elle a pu, ce n’est qu’une formalité avant qu’elle ne soit définitivement sortie de la course, et incidemment, de nos vies.

Après quinze interminables années à subir le joug d’une femme vulgaire, brutale et inculte qui aboie plus qu’elle ne parle, nous pouvons bien patienter d’ici à l’automne 2026.

Certes Bardella ne fait pas franchement illusion, mais la reine de Mayotte doit impérativement dégager pour une simple question d’hygiène mentale.

Raus !