Les juifs désignent Reza Pahlavi nouveau chef de l’Iran démocratisé – Démocratie Participative

Les juifs désignent Reza Pahlavi nouveau chef de l’Iran démocratisé

La Rédaction
Démocratie Participative
\n19 juin 2025

 

Les médias juifs ont soudainement sorti de l’ombre le nouveau chef théorique de la future démocratie iranienne : le fils de l’ancien despote déchu, Reza Pahlavi.

La démocratie a ceci de miraculeux qu’elle décide de qui la dirige sans en parler à personne avant d’en informer la populace la veille au soir.

Notre très républicaine presse est miraculeusement devenue monarchiste ces dernières 48 heures.

Comme en Irak, en Syrie, en Libye, l’opération contre l’Iran n’a rien de spontané.

C’est le fruit d’une intense et longue préparation, aussi bien militaire, que politique et médiatique, le tout sous l’étroite supervision du Kahal.

En février déjà, Bolloré-Goldschmidt faisait ouvrir ses plateaux à Pahlavi pour lui faire passer l’oral.

Et bien entendu, un peu partout ailleurs.

Reza Pahlavi s’est donné beaucoup de mal pour convaincre les juifs d’en faire le roitelet d’un Iran vaincu.

On imagine ce que serait la souveraineté d’un tel État avec ce type à sa “tête”.

Cependant, les déclarations d’intention sont une chose, les juifs en sont une autre.

Pour disposer de réelles chances, Pahlavi a donné l’une de ses filles à un juif, le spéculateur Bradley Sherman.

C’est que si les goyim croient à la démocratie théorique, la démocratie pratique, elle, est tribale. Sans dynastie juive à la tête de l’Iran, Pahlavi ne reverra pas son trône.

Les médias de Tel Aviv ont annoncé le pacte la semaine dernière.

Les choses sont bien faites.

Voilà qui lui fait un point commun avec Trump.

Les médias français se gardent bien d’aborder ces questions patrimoniales et raciales, des fois que la plèbe ne soupçonne que cette rhétorique démocratique ne soit qu’une façade.

Ce mariage nous rappelle l’histoire d’Esther, du nom de la traînée juive que les rabbins avaient placée dans la couche du roi de Perse afin de mettre le royaume en coupes réglées.

Elle fit exterminer les patriotes perses qui tentèrent de libérer leur pays des juifs. Nous en avons raconté le détail dans notre article De Pourim à Sparte.

Historiquement, en somme, les rois de Perse ne valent pas grand chose. La république islamique d’Iran pour sa part est réellement un État et à ce titre, il est en lutte pour défendre la souveraineté nationale iranienne.

C’est une culture qui nous échappe complètement aujourd’hui, la France étant passée de Louis XIV et Napoléon Bonaparte à Cyril Hanouna.