L’écologie millénariste juive, dernier masque du judéo-christianisme – Démocratie Participative

L’écologie millénariste juive, dernier masque du judéo-christianisme

La Rédaction
Démocratie Participative
\n10 juin 2025

 

Cette séquence de Macron est particulièrement révélatrice.

L’écologie messianique est un egotrip de la classe dominante.

L’article Dans la cervelle d’un gauchiste revient sur les mécanismes biologiques qui expliquent le comportement des gauchistes, mais plus généralement des juifs de synthèse qui s’ignorent que sont les masses chrétiennes sécularisées — c’est-à-dire 99% de la population, voire plus.

Cette matrice mentale est le fruit du saccage du système neuronal aryen par 15 siècles de psychopathie hébraïque, importée en Europe par les sectes chrétiennes, toutes composées à l’origine, sans exception, de révolutionnaires juifs.

La cervelle de ces juifs était structurée selon des notions aussi erronées que perverses, à commencer par l’idée que le monde était intrinsèquement mauvais depuis le soi-disant “péché originel”. À cette idée s’associait le narcissisme ethno-tribal intrinsèque de la race juive dont les scribes avaient décrété que les membres avaient été missionnés par Yahvé, une divinité extraite d’un panthéon polythéiste sémite, pour “restaurer l’ordre moral” sur terre, c’est-à-dire soumettre le monde à la dictature des prêtres juifs.

Le “sauveur” (“machiac’h”) était censé être le leader suprême de la race juive envoyé par Yahveh pour établir cette dictature universelle.

Aux alentours des années 30 de l’ère courante, Yeshoua de Nazareth se décréta être ce “machiac’h”, provoquant la colère des prêtres du temple de Jérusalem, jusque là seuls intermédiaires légitimes entre les juifs et Yahveh. Ils intriguèrent auprès des Romains pour faire clouer le concurrent sur une croix dans la banlieue de Jérusalem.

Rien n’est plus fidèle au christianisme authentique qu’une peinture hideuse du juif Chagall, plus sinistre, atroce, torturé. Plus juif en un mot.

Une véritable guerre civile éclata ensuite dans la ville, les partisans juifs de Yeshoua s’étant convaincus qu’il était ledit  “sauveur”, tandis que les loyalistes hurlaient à la sédition. Sous la pression des loyalistes, un certain nombre des juifs partisans du Nazaréen entreprirent d’aller soulever les communautés juives établies dans le monde méditerranéen pour faire masse contre les prêtres de Jérusalem.

Débarquant dans les synagogues pour annoncer la “bonne nouvelle” au troupeau immigré juif local, de phénoménales crises d’épilepsie communautaire éclatèrent, prenant de cours les autorités romaines qui ne comprenaient rien de ces convulsions.

Prêches révolutionnaires, émeutes et meurtres devenaient le lot commun de l’environnement de ces synagogues, les loyalistes en appelant aux Romains pour réprimer les juifs séditieux, les révolutionnaires s’appuyant sur tous les ferments d’agitation pour tenir leurs positions.

Très vite, au sein de la faction juive pro-nazaréenne, on estima qu’il fallait recruter au delà des frontières de la communauté pour être en mesure de tenir tête aux juifs fidèles aux prêtres de Jérusalem. C’était indiscutablement une rupture majeure, les juifs étant les tenants d’un racisme hermétique, tant par penchant que par conviction religieuse. Et c’est ainsi que le “christianisme” apparu lors du premier “concile” de Jérusalem, alors que Yaakov, dit “Jacques”, frère de Yeshoua, conspirait contre la rabbinerie dans quelque bâtisse des faubourgs, entouré des autres cadres révolutionnaires.

Présent, Shimon Bar Jonah, dit “Pierre”, expliqua comment il avait convaincu des goyim, avec un succès inespéré, d’entrer dans la guerre sainte. Selon lui, moyennant quelques allègements vis-à-vis de la Torah, on devait convertir les goyim au judaïsme authentique et accompli qu’était le judaïsme de Yeshoua — autrement appelé “christianisme” depuis.

Au fil des siècles, sous la bannière de la synagogue de Yeshoua, l’État romain fut infiltré, subverti, paralysé par la secte, véritable maçonnerie révolutionnaire déterminée à “sauver” un monde en pleine santé en le contaminant du sémitisme mental. Le mode opératoire reposait intégralement sur la terreur propre au monothétisme juif : une seule vérité, la vérité de Yeshoua, et les tourments de l’Enfer à tous ceux qui refusaient de plier sous le joug de ce bolchevisme religieux. Ainsi opérait le “dieu de l’amour” de ces juifs.

Une fois l’État romain complètement conquis, en 380, on assista à un effondrement culturel à peu près complet. L’art de l’époque témoigne de cette chute dans la barbarie orientale. Les splendides statues des artistes aryens des siècles précédents laissèrent place à des immondices atteints de difformités. Rien ne contenait plus l’agressive dégénérescence raciale du sémitisme.

Tête colossale d’Antinoüs (Antinous Mondragone), 2e siècle de notre ère

Valens ou Honorius, fin du 4e siècle de notre ère

Au cinquième siècle, la grandeur du christianisme s’étalait devant tous.

Théodose II, 5e siècle de notre ère

Il fallut pas moins de dix siècles à l’humanité européenne pour se délivrer de la nuit judéo-chrétienne.

Paradoxalement, les papes, issus des familles patriciennes d’Italie, furent les premiers à vouloir se dégager de la catastrophe sémitique qui avait détruit civilisation romaine dont ils se savaient les héritiers en ligne directe. On les voyait ainsi monnayer le salut des âmes dans toute la Chrétienté pour remplir les coffres du Vatican et financer la renaissance de leur culture.

La chose avait été facilitée par le syncrétisme, relatif, prôné par les papes. Faisant face à un monde aryen encore compact, les papistes ne tardèrent pas à adopter un certain pragmatisme en judéo-christianisant la culture aryenne, que ce soit par la récupération de ses temples ou de ses fêtes sacrées.

Le pape Gregorius (540 – 604) écrivit à ses agents pour mener la subversion en ce sens. En 601, il adressa une missive à Mellitus à ce sujet :

« Ne détruisez pas les temples des idoles des Anglo-Saxons, mais détruisez les idoles qu’ils contiennent ; purifiez les bâtiments avec de l’eau bénite, érigez des autels et placez-y des reliques. […] Quant aux fêtes où ils sacrifient des bœufs à leurs dieux, qu’ils les transforment en une solennité religieuse, en l’honneur du jour de la dédicace des églises ou des martyrs dont les reliques y sont placées. »

Ironiquement, le pillage cynique des crédules, devenu hors de contrôle au 16e siècle, entraîna une très violente réaction des adeptes de l’orthodoxie judéo-chrétienne. Les Allemands, soucieux de vérité par nature, ne goûtaient guère la légèreté avec laquelle l’oligarchie italienne se servait de la religion qu’elles avaient introduite en Germanie pour paradoxalement s’en extraire à titre privé. Ils furent les moteurs de cette contre-révolution d’esprit juif.

C’est que les représentations d’hommes nus ouvertement homosexuels que les familles italiennes, dont étaient issus les papes, commandaient aux artistes faisaient vilaine impression au nord des Alpes.

David, Donatello, 1430 – 1432

En 1517, le moine allemand Luther somma Giovanni di Lorenzo de’ Medici, de renoncer au financement de son palais, à Rome, sur le dos des masses chrétiennes qui croyaient, en abondant sa caisse, s’acheter les portes du paradis.

Giovanni di Lorenzo de’ Medici

Cela provoqua une contre-révolution judéo-chrétienne, appelée communément “protestantisme”, qui prônait un retour à la Torah (“l’Ancien Testament”) doublé d’une lecture littéraliste.

On vit partout éclater la même fièvre révolutionnaire qui avait secoué les communautés juives de Méditerranée lorsque les adeptes de Yeshoua entreprirent de les rallier contre les prêtres du temple de Jérusalem. Ici et là, en Allemagne, des terroristes prêchaient l’arrivée prochaine du machiac’h, Yeshoua le “sauveur”, et sommaient les masses de se préparer en vue de l’Apocalypse imminente.

Rejetant toute forme d’autorité centrale, ces agitateurs s’improvisaient chefs religieux. La ville de Münster fut l’un des théâtres de cette fièvre fanatique. Jan van Leiden, un marchand raté, prit la tête d’une faction de zélotes et voulut faire de la ville “la Nouvelle Jérusalem”. Il innova dialectiquement en annonçant que c’était par un messianisme performateur, censé “réparer le monde”, que le paradis de Yeshoua de Nazareth adviendrait enfin sur terre. En cela, il préfigurait l’avènement du marxisme, forme finale du judéo-christianisme sécularisé.

Leiden interdit la propriété privée, l’argent, le prêt, décrèta la collectivisation des moyens de production et l’introduction du kolkhoze. À la tête d’une dictature du prolétariat puisant dans la lecture littérale de la Torah, il se décrèta “roi de Sion” et légalisa la polygamie, pour imiter Abraham, et procèda à l’assassinat de tous les sceptiques.

Jan van Leiden

Si ces expérimentations furent écrasées par l’aristocratie allemande, le schéma fondamental de la révolution judéo-chrétienne était posé et il ne tarda pas à contaminer toute l’Europe. La révolution française, qui se proposait dans les grandes lignes la même finalité messianique à l’échelle du globe, mis en forme, et avec succès, ce mouvement révolutionnaire spirituellement juif et commença d’ailleurs par donner l’égalité des droits aux juifs en 1791, leur permettant d’infiltrer plus complètement la société.

Dans la Mishna (IIe siècle), le concept de “Tikkun Olam” était utilisé dans un sens pratique, pour justifier des lois visant à « réparer » l’ordre social. Cette conception s’appuyait sur les notions éthiques et juridiques préexistantes. Dans la Kabbale lourianique (XVIe siècle), la “Tikkun Olam” devint un concept mystique, où les juifs “réparaient” le cosmos en libérant les étincelles divines. Cette vision s’appuyait sur les spéculations cosmologiques et messianiques également antérieures. En quittant leurs ghettos, grâce au libéralisme démocratique, et en abandonnant (à moitié) leurs yeshivas, les juifs importèrent clandestinement la “Tikkun Olam” rabbinique dans les couches sociales dominantes d’Europe au moyen d’une vile littérature où le “progrès”, la marche vers ce monde “réparé”, était l’idéal historique à atteindre, leur inoculant une nouvelle dose de poison messianique.

On ne peut pas comprendre la démocratie contemporaine, ni la fièvre révolutionnaire qui la conduit, sans saisir que son soubassement puise dans la conception juive du monde et que sa pénétration dans les masses occidentales n’aurait pas été possible sans le saccage des boîtes crâniennes blanches par deux millénaires d’acculturation et de terreur chrétiennes.

En ce sens, le christianisme organisé a servi de bélier lors du siège du monde aryen par l’esprit juif, avant que le juif lui-même ne puisse pénétrer la place et s’en emparer complètement.

Avec l’avènement du protestantisme, l’Église catholique a certes perdu le monopole de l’exploitation de ce câblage neuronal, mais ce câblage est toujours là, intact, prenant sans cesse, comme une hydre dont on coupe en vain les têtes, la forme d’un nouveau messianisme apocalyptique, d’instinct hébraïque.

Et les juifs, plus que quiconque, savent se rendre maîtres de cet instinct qui procède de leurs cervelles malades.

La grande force de cette structure neuronale destructrice est sa plasticité. Il n’y a pas une forme d’anarchisme dont elle ne sache s’emparer pour son propre compte. Contenue dans les vestiges de l’administration impériale romaine, partiellement enserrée pendant des siècles dans les us du monde antique, la peste judéo-chrétienne s’est complètement libérée avec l’implosion de l’Église catholique romaine, tel un virus échappé d’un laboratoire de Chine.

Sous l’effet du marxisme, puis du freudo-marxisme, boosté par Hollywood et le biblisme américain après 1945, il a tout contaminé culturellement et socialement. Tant et si bien qu’il peut tout à la fois être représenté par une droite américaine ultra-sioniste, et par une gauche démocrate caporalisée par les juifs qui appellent à la destruction des frontières. Dans les deux cas, c’est le même esprit juif qui est agissant.

Et pour en revenir à Macron, celui-ci se voit être l’un des leaders de la plus récente forme de ce messianisme d’essence juive qu’est l’apocalyptisme écologique.

Ce qui est un comble, quand on sait que rien n’est plus étranger à la nature, à ses cycles, que l’esprit destructeur juif issu du désert.

Quoi de plus cocasse que de voir un de ces caravaniers qui, hier encore, prêchait la révolution productive bolchevique mondiale, enfourcher la cause bucolique des petits oiseaux et de la “décroissance”, pour peu qu’elle leur confère un pouvoir plus complet sur la vie des goyim.

Dès lors, on comprend que les Français de souche qui se plaignent d’être assiégés par les barbares, paraissent à Macron ressembler à ces tribus antiques rétives aux grandes vérités du délire désertique juif, engoncés qu’ils sont dans leur quotidien forestier sans intérêt.

Macron veut participer de cette nouvelle économie “écologiste” du salut hébraïque, être le lieutenant de Yahveh sur terre, la France étant depuis 1789 la fille aînée de la démocratie juive.

Il n’y aura pas de salut des corps de l’humanité blanche sans guérison de l’âme aryenne. Cette guérison ne peut advenir qu’en opérant un retour aux sources de l’Aryanité, à l’antiquité pré judéo-chrétienne.

Tâche immense, mais imminente, qui suppose la destruction méthodique de toutes les manifestations du virus juif, de la démocratie cosmopolite à l’écologie juive, écologie juive qui ne saurait, c’est l’évidence, être confondue avec l’écologie aryenne puisque l’Aryen, par nature et par esprit, s’inscrit dans les cycles naturels du cosmos et ne se distingue pas de la nature dont il est une partie.

Combattre le juif est certes essentiel, mais combattre l’esprit juif et ses manifestations l’est tout autant.

Derrière la constellation des masques de la maladie sémitique — islam, christianisme, judaïsme, marxisme, démocratie, féminisme –, la racine du mal doit être extirpée des coeurs et des âmes blanches, et ce avec une détermination inflexible.

Performativement, le racisme et l’antisémitisme sont les deux premières idées forces qui conditionnent cette guérison, même s’il faut y ajouter la volonté de créer un nouvel ordre de choses tangible. Un ordre de choses annoncé par le grand Friedrich Nietzsche, un ordre débarrassé de la maladie mentale qu’est le sémitisme.