Le voyage de l’affreuse Marine Le Pen en Calédonie tourne au fiasco – Démocratie Participative

Le voyage de l’affreuse Marine Le Pen en Calédonie tourne au fiasco

La Rédaction
Démocratie Participative
\n31 mai 2025

 

Mariama n’a pas pu résister à l’idée de sauter à pieds joints dans l’aventure coloniale calédonienne au moment où ce dominion coule à pic.

L’intelligence politique et la prudence commandaient de se tenir à bonne distance de ce bourbier, mais lorsqu’il s’agit de s’exciter à propos d’une île à cocotiers peuplée de babouins agressifs, Marine Le Pen est comme sous hypnose et ne se retient plus.

Résultat, l’affaire a tourné au désastre.

Les Kanaks, prochainement majoritaires, veulent l’indépendance et finiront inévitablement par l’obtenir, car la distance, le coût financier et le soutien des puissances pacifiques rendent l’île intenable.

Le parti colonial local, approximativement composé de 50 000 métropolitains et associés, s’enferme dans le déni, ce que même Le Pen ne peut pas franchement ignorer.

Faute d’appeler à la guerre contre la faune indigène, Marine Le Pen a mécontenté ces gens qui, jusqu’à présent, plébiscitent Macron.

Si la France était administrée par des Britanniques, cette île serait indépendante au sein d’une sorte de confédération française de pure forme depuis 70 ans. Ils ont une nuée d’états indépendants de cette nature qui sont nominalement membres du Commonwealth.

Comme Andorre, en somme.

L’avantage, c’est que ça ne coûte rien au contribuable anglais, que ces îles sont transformées en paradis fiscaux et que les peuplades qui y vivent doivent se prendre en charge.

Mais nous sommes gouvernés par une république jacobine qui fait de l’égalité raciale un dogme religieux et qui insiste depuis deux siècles pour étendre ce principe à la totalité du globe.

La république de la CAF.

Et le RN, parti héritier des Sans-Culottes, partagent totalement cette conception antiraciste du monde, l’alcoolo-tabagique plus que les autres encore.

Du coup, le contribuable français est sommé de passer à la caisse pour ces îles stupides, dans des volumes toujours plus colossaux.

Les DOMTOM (appelés DROM-COM aujourd’hui) coûte 20 milliards de dépenses directes, 7 milliards de niches fiscales et 10 milliards supplémentaires de dépenses sociales pour permettre à ces populations enthousiasmantes de manger gratuitement aux frais des Blancs qu’ils haïssent viscéralement. C’est que le RSA tombe peut-être du ciel pour ces Mahorais, Antillais, Kanaks, mais pas pour le contribuable de la métropole.

Près de 40 milliards par an, 400 milliards tous les dix ans, pour une somme de cailloux sans utilité aucune. Cette coquetterie coloniale devient intenable financièrement et le foutoir actuel en Calédonie, ou à Mayotte, n’est qu’un tout petit avant-goût du chaos qui va s’y établir, faute d’argent.

Hélas, depuis l’Indochine et l’Algérie, nous savons qu’il n’y a pas une guerre absurde, ruineuse et perdue d’avance que la droite française ne veuille mener avec l’argent et le sang des autres.

Cette république va donc insister pour forcer les Kanaks à faire mine d’être des hommes – “des Français” dans le jargon républicain – au moyen de milliards d’euros qu’il faudra emprunter à des taux prohibitifs (aux juifs donc).

C’est le coût d’un flonflon tricolore quelque part sur un caillou situé au large de l’Australie, peuplé d’insurgés du néolithique, où aucun Français ne foutra jamais les pieds.

Le tout en vain.

Quel enfer.

Ceci dit, la bonne nouvelle, c’est que ce désastre pousse un nombre croissant de personnes à soutenir Bardella en vue de 2027.

Et l’horrible Marine Le Pen le sait.

Souhaitons que Brutus Bardella n’ait pas la main qui tremble le jour venu.

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