La Rédaction
Démocratie Participative
\n07 juin 2025
Le meurtrier de Benoît est identifié.
On est sur du Bosniaque musulman.
Selman est un prénom d’origine arabe, dérivé du mot “salama” qui signifie “paix”, “sécurité” ou “sérénité”. Il est souvent interprété comme “celui qui est en paix” ou “celui qui apporte la paix”. Dans la tradition islamique, le prénom est associé à Salman al-Farisi (Salman le Perse), un compagnon du prophète Mahomet, figure historique importante connue pour sa conversion à l’islam et son rôle dans les premières communautés musulmanes.
Ramović est un nom de famille dérivé du prénom Ramo ou Rama, qui est d’origine arabe et signifie “archer” ou “celui qui vise un but”. Le suffixe -vić est courant dans les langues slaves du sud (serbe, croate, bosniaque) et signifie “fils de” ou “descendant de”. Ainsi, Ramović peut se traduire approximativement par “fils de Ramo” ou “descendant de Rama”.
Bosniaques
Officiellement, les Bosniaques sont des Slaves. Ce terme générique occulte une composition raciale plus hétérogène qu’il faut détailler.
Les Bosniaques sont pour 23% des descendants d’Anatoliens qui peuplaient l’Europe il y a environ 5 000 ans (haplogroupes comme J2 (Y-ADN) et H ou K (ADN mitochondrial).).
Les populations les plus proches génétiquement de ces Anatoliens sont d’évidence les Anatoliens contemporains, pour environ 50% de leur patrimoine génétique.
Type anatolide
Les conquérants aryens ont largement libéré le continent de leur présence au terme d’une impitoyable guerre d’extermination qu’on ne peut qualifier que de salutaire. Hélas, cette guerre raciale de libération n’a pas été menée avec la même intensité partout.
La part anatolienne se situe entre 10 et 20% en France selon les régions, 10 et 15% en Angleterre, 8 et 12% dans les Pays Baltes.
Logiquement, plus nous nous rapprochons géographiquement de l’Anatolie, plus cette pollution raciale est forte. Est-ce un hasard si certaines poches de peuplement balkaniques ont cultivé une grande proximité avec le pouvoir turco-mongol établi à Constantinople ?
Non, bien sûr. Au delà de la religion, qui est un vernis, se trouve une affinité archaïque qui unit en partie ces peuples.
Ce que nous appelons la race blanche, caucasoïde, aurait besoin d’une puissante politique d’épuration génétique pour retrouver sa pleine santé. Les miasmes orientaux qui, trop souvent, se trouvent au sein de nos propres populations, donnent à certains Européens un faciès d’aspect des plus louches.
Prenez l’homme Benoît Hamon, agent de destruction raciale, que certains prennent pour un “Breton”.
Nous avons condensés là les débris d’Anatoliens amalgamés par les conquérants celtes (Gaulois, puis Bretons stricto sensu). Le phénotype est caractéristique : cheveux noirs, peau olivâtre, petite stature, nez torve, regard calculateur, qu’un partiel apport de sang aryen dissimule à l’oeil de la personne inattentive.
Prenez encore le doctrinaire marxiste grec Varoufakis, ardent apologète de la submersion complète de l’Europe : vous avez là un migrant anatolien déguisé en Grec.
Si l’Aryen a la domination franche, hiérarchique, toute de vérité, la mémoire génétique des vaincus conditionnent le profil psycho-racial de ceux qui en sont affectés. Esquivant la confrontation directe, ils incitent les bas-fonds de la société à l’insurrection permanente. C’est là la réserve naturelle de l’agitation démocratique, les cadres automatiques de toutes les séditions.
Bien sûr, puisque nous parlons d’un embrouillamini génétique millénaire sur lequel se plaquent les grandes croyances et modes contemporaines, nous pouvons retrouver des individus de type nordique se compromettre avec ces éléments de mauvaise souche, et inversement. Les vérités raciales demeurent toutefois.
Ne nous étonnons pas de voir les plus mauvais profils raciaux d’Europe se “convertir” à l’islam des pillards de caravanes : ils faisaient de même il y 6 000 ans au nord de la Syrie.
En somme, en Europe, nous avons une vilaine part orientale qui, pour 10% voire 20%, forme le terreau de la pourriture sociale.
La vérité profonde derrière l’impérative destruction de la démocratie est le rétablissement des hiérarchies naturelles, et d’abord des hiérarchies raciales sans lesquelles la civilisation chute dans la barbarie.
C’est notamment pour cela que je suis un adepte d’une nouvelle forme de féodalisme racial tempéré de méritocratie.