La Rédaction
Démocratie Participative
\n28 mai 2025
- Précédemment : Représentée par le sodomite Attal, la juiverie exige que le traître Dreyfus soit promu général !
Plus d’un siècle après, les juifs continuent de vouloir se venger des Français pour avoir dénoncé leurs agissements.
Imaginez ce qu’il faut de haine raciale dans le sang pour cela.
Un texte hautement symbolique. La Commission de la Défense de l’Assemblée nationale a adopté ce mercredi matin à l’unanimité une proposition de loi visant à élever le capitaine Alfred Dreyfus au rang de général de brigade, 90 ans après sa mort. « C’est une étape importante dans l’histoire d’Alfred Dreyfus et dans l’histoire de la République », a salué devant ses collègues le député Ensemble pour la république (EPR) du Bas-Rhin Charles Sitzenstuhl, rapporteur du texte qui sera débattu le 2 juin en séance plénière.
Cette proposition de loi avait été déposée le 7 mai par le chef des députés EPR et ancien Premier ministre Gabriel Attal, une semaine après un texte semblable soumis par le groupe socialiste au Sénat. Ce dépôt par le député des Hauts-de-Seine, est une réponse à un appel lancé par le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici, l’ex-secrétaire général de l’Élysée Frédéric Salat-Baroux et le président de la Maison Zola-Musée Dreyfus, Louis Gauthier, publié dans Le Figaro mi-avril.
Attal, Moscovici, Sala-Hababou dit “Salat-Baroux” : tous des juifs.
En 1894, le capitaine Alfred Dreyfus avait été condamné pour trahison et contraint à l’exil sur l’île du Diable en Guyane, sur la base de fausses accusations alimentées par un antisémitisme très ancré dans la société française à la fin du XIXe siècle.
« L’antisémitisme qui frappa Alfred Dreyfus n’appartient pas à un passé révolu. Les actes de haine d’aujourd’hui rappellent que ce combat est toujours d’actualité », souligne Gabriel Attal dans sa proposition de loi. « Cinq années de déportation et d’humiliation ont irrémédiablement freiné sa carrière militaire. Il est incontestable que sans cette injustice, Alfred Dreyfus aurait accédé naturellement aux plus hauts grades », indique également le texte.
Ces juifs réécrivent l’histoire.
Ils voyagent dans le temps !
Ils en feront en temps et en heure un Maréchal de France.
Peut-être même un empereur : l’empereur des juifs.
Si on patiente encore un peu, ils le déifieront, comme César.
Évidemment, aucun parti représenté au parlement n’a osé broncher, et pour cause : l’idée même d’une opposition aux juifs, fût-elle de détail, tremblante, soupesée, obséquieuse, confuse de prudence, n’effleure aucune des cervelles de leurs députés.
Ils sont imbibés de la mystique judéo-démocratique, de l’antiracisme de droit divin, acquis en bloc à l’écrasante domination qu’exercent les juifs sur la France, et, pour faire bonne mesure, pétrifiés jusqu’à en chier dans leurs frocs.
Communion lancinante dans l’expiation.
Ce sont les juifs qui sont chez eux, la députasserie goye n’est que de passage… en location pourrait-on dire.
La France ne s’appartient plus. C’est un cadavre truffé de youtres qui se repaissent de ses chairs en décomposition.
Pour égayer leur festin, ils agitent sous nos nez les faciès hideux et insolites de leurs ancêtres, par grade de haine dans la lutte contre nos propres goyim d’ancêtres.
Le capitaine Dreyfus est infiniment plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France, et il l’a gardée.
Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres, 1938