La Rédaction
Démocratie Participative
\n20 mai 2025
Ce nez crève l’écran.
⭐ #Cannes2025: l’acteur Pierre Niney réagit à la condamnation de Gérard Depardieu pour agression sexuelle, à la soirée Women in Motion organisée par le groupe de luxe Kering #AFPVertical ⤵️ pic.twitter.com/QMMqrcG3Qv
— Agence France-Presse (@afpfr) May 19, 2025
L’unanimité de la communauté nous a déjà poussé à commenter cette non affaire.
Le cinéma français est une synagogue parisienne exclusivement financée par le ministère de la “Culture”. Depardieu subit le transfert sur sa personne des affres que la juiverie a les plus grandes difficultés à dissimuler.
La bruyante juive Anouk Grinberg, si délirante qu’elle a été chassée du tribunal où se déroulait le procès de l’acteur, a avoué très récemment avoir été violée par son juif de père.
Le visage ravagé du judaïsme
De même pour Marilou “Berry” Benguigui dont l’oncle, Richard “Berry” Benguigui, a été accusé de sévices sexuels par sa propre fille.
Ils sont comme ça, les juifs.
S’ils montent si virulemment au créneau sur ce sujet, c’est pour mieux couvrir leurs propres turpitudes. Quoi de mieux que de s’ériger en procureur lorsque l’on est soi-même occupé à violer ses gosses ?
Telle est l’équation de la juiverie médiatique.
On ne les compte plus.
Quand ils se piquent de freudo-marxisme, c’est encore pire.
Quel dommage que Depardieu n’ait jamais compris la question juive.
À son corps défendant, pour faire carrière dans cet étang rempli de ces crapauds immondes, s’aventurer à évoquer le problème tribal n’est pas payant.