La droite juive nous pousse à la guerre contre l’Iran de manière totalement obscène – Démocratie Participative

La droite juive nous pousse à la guerre contre l’Iran de manière totalement obscène

La Rédaction
Démocratie Participative
\n17 juin 2025

 

Ce genre de moment géopolitique est toujours l’occasion de démontrer à quel point les goyim ne disposent pas de leur destin.

C’est le scénario ukrainien qui recommence. La semaine dernière, personne ne parlait de l’Iran. Depuis que la juiverie mondiale a lancé l’assaut contre cet état, sans déclaration de guerre, les médias assurent soudain qu’il y a urgence à faire la guerre aux Iraniens.

Vous savez, ces Iraniens qui contrôlent nos médias, nos banques, nos gouvernements, qui ont théorisé les lois antiracistes, qui promeuvent le féminisme et le transexualisme à l’école et qui ont créé le site “Blacked”.

Marty a fait tuer bon nombre de gens durant le Cohen19.

Il n’a jamais eu à s’expliquer.

Il n’y a pas de clivage entre “gauche” et “droite”. Ça n’a jamais été le clivage en démocratie, encore moins en France.

La ligne de front se situe entre les juifs, leurs serviteurs, et les autres, ceux qui ne veulent pas mourir pour la domination juive mondiale, laquelle, nous promettent les juifs, doit être symbolisée par le troisième temple de Jérusalem (il suffit de les écouter).

La rhétorique de Damien Rieu ou de Marine Le Pen est identique à celle de Bernard-Henri Lévy.

La catastrophe libyenne n’a servi à rien.

Les mêmes bellicistes poussent au cataclysme.

De leur côté, les boomers de la droite juive essaient de faire croire que bombarder Téhéran calmerait les bougnoules sunnites de Barbès.

Ces ahuris veulent détruire un État stable dont l’effondrement entraînerait une vague immense d’immigration orientale vers l’Europe, avec le plein appui de la juiverie qui y verrait l’opportunité de “faire croître le PIB”.

Il n’y a pas seulement des Iraniens en Iran, mais des Afghans, de très nombreux Afghans.

Des millions.

Et nous savons à quel point l’immigration afghane a prouvé sa valeurs dans nos contrées.

Hélas, je ne me fais aucune illusion : comme la muleta, pour le patribeauf moyen il suffit qu’on promette de larguer une bombe sur une femme voilée à 5 000 kilomètres pour qu’il accepte de faire les volontés des juifs, quitte ensuite à en subir les plus terribles conséquences.

Ces gens ne retiendront jamais rien. Ils n’ont aucune connaissance du monde, a fortiori islamique, de son histoire, de son hétérogénéité, de ses divisions.

C’est avec de tels veaux, incultes et bornés, que les catastrophes de 1914 et 1939 ont été possibles, pavant la voie aux juifs qui désormais, derrière le masque de la démocratie, contrôlent les nations occidentales d’une poigne de fer.

Il y a beau temps que l’Iran n’est plus islamiste que dans des portions restreintes de ses cercles dirigeants. De la Turquie au Pakistan, la destruction de l’Iran chiite laisserait le champ libre au fanatisme sunnite, déjà amplement libéré par 40 ans d’appui saoudo-israélien, britannique et américain.

C’est exactement ce que veulent les juifs, qui prospèrent du chaos, et qui exporteront ensuite ces coupeurs de tête en Asie centrale, vers la Russie et la Chine, mais aussi chez nous.

Les juifs ne craignent rien, à l’abri derrière les épais murs de leur colonie orientale, surarmés par l’Amérique, et disposant d’une impunité totale.

Ils ne risquent rien de plus en Occident, surprotégés par la police dans leurs ghettos luxueux du 17e arrondissement de Paris ou de la 5e avenue de New York.

La destruction de l’Iran ne ferait qu’asseoir plus complètement le siège spirituel de la tyrannie cosmopolite globale qui se trouve en Palestine.