Joie simple : le porc covidiste Aurélien Rousseau atteint d’un cancer après avoir vacciné les innocents comme ministre de la “Santé” – Démocratie Participative

Joie simple : le porc covidiste Aurélien Rousseau atteint d’un cancer après avoir vacciné les innocents comme ministre de la “Santé”

La Rédaction
Démocratie Participative
\n06 juin 2025

Le poison fait son effet

Bonne nouvelle !

L’ex-ministre de la Santé de Macron, le vaccinateur fou Rousseau, est en train d’être dévoré par un cancer post-vaccinal.

Contrairement à son maître, il s’est réellement injecté le poison létal dans les veines et une longue déchéance l’attend pour prix de ses crimes.

C’est une réelle satisfaction.

BFMTV :

L’ex-ministre de la Santé a révélé ce mardi 3 juin être atteint d’un cancer, appelant le gouvernement à ne pas couper dans les budgets de la recherche sur cette maladie. En évoquant son cas personnel, il souhaite “prendre le risque de l’impudeur” pour mieux alerter sur la nécessité de développer les politiques publiques.

“Une période d’incertitudes comme la vivent des centaines de milliers de nos compatriotes”. Ancien ministre de la Santé, devenu député, Aurélien Rousseau apporte des précisions sur son cancer ce mercredi 4 juin, après avoir révélé la veille à l’Assemblée nationale qu’il était touché par cette maladie.

“Je suis très bien soigné, j’admire le service public hospitalier encore plus que je l’admirais. Les choses se sont bien passées dans l’opération, mais c’est toujours sous étroite surveillance”, déclare-t-il sur France 2, sans donner la nature exacte de son cancer.

L’essentiel est ailleurs pour celui qui avait quitté le gouvernement en décembre 2023 afin de marquer son désaccord avec la loi immigration, avant de se faire élire dans les Yvelines sous les couleurs de Place Publique, le parti de Raphaël Glucksmann, aux dernières élections législatives.

Il s’agit d’alerter sur la nécessité de continuer à développer les politiques publiques en matière de recherche du cancer, dans la lignée de son intervention à l’Assemblée ce mardi. “Il nous faut plus de données, plus d’éléments, il faut éclairer toute cela à la lumière de la science, sinon c’est la bougie vacillante des complotistes qui gagne la partie”, appuie-t-il.

En ce sens, l’ancien directeur de cabinet d’Élisabeth Borne soutient une proposition de loi visant à mettre en place un registre national des cancers, insistant sur la nécessité de savoir “où chercher” afin de “mener des politiques publiques.”

Depuis l’Assemblée nationale, il a demandé ce mardi au gouvernement de s'”engager à ce que les recherches en matière de cancer ne soient victimes d’aucune réduction budgétaire dans les mois à venir”.

J’invoque les dieux et leur demande de châtier le traître à la solde des juifs d’une manière exemplaire, en lui infligeant de très longues et douloureuses souffrances et, si possible, quelques faux espoirs sur le chemin du cimetière.