Japon : les Kurdes traquent les élus qui enquêtent sur leurs activités criminelles – Démocratie Participative

Japon : les Kurdes traquent les élus qui enquêtent sur leurs activités criminelles

La Rédaction
Démocratie Participative
\n05 juin 2025

 

Parallèlement à leur campagne de terreur en Turquie visant à édifier un état narco-communiste, la pouillerie kurde a formé de nombreuses bases arrière en Europe, mais également, pour une raison inconnue, au Japon, dans la préfecture de Saitama, au nord de Tokyo.

Le Japon n’en compte “que” 3 000, mais c’est déjà suffisant pour plonger la ville de Kawaguchi dans la terreur.

Dans un pays aussi policé que le Japon, ces hordes ont rapidement transformé leur environnement en zone ultra-toxique : refus catégorique de vider leurs ordures ailleurs que partout, conduite ultra-dangereuse, viols, etc..

Si en France ces cafards passeraient inaperçus dans la masse des millions de créatures ignobles qui souillent le pays quotidiennement, tel n’est pas le cas au Japon.

Les Japonais ne sont pas encore accoutumés à ces gens qui ont l’art de se faire aimer.

⚽️ Un match de football japonais perturbé par un groupe kurde en raison d’un différend sur le drapeau ; des accusations de discrimination sont formulées

Lors d’un match de football de la J1 League entre les Urawa Reds et les Kashiwa Reysol au stade de Saitama, dans la ville de Saitama, un groupe de Kurdes portant les maillots du « FC Kurd », une équipe amateur fondée par des immigrants kurdes résidant dans la ville voisine de Kawaguchi, a tenté d’arborer le drapeau de leur équipe, dont les couleurs ressemblent à celles du drapeau kurde, sans autorisation préalable du stade.

Ignorant les demandes répétées du personnel du stade de retirer le drapeau, le groupe s’est agité et a protesté bruyamment, criant « Vous discriminez les Kurdes ! » et « Discrimination, discrimination ! ».

Selon les organisateurs du match, il est nécessaire de faire une demande préalable et d’obtenir une autorisation pour brandir des banderoles et des drapeaux pendant les matchs, ce qu’ils n’avaient pas fait.

Un porte-parole des Urawa Reds a déclaré à la presse : « Ce n’est pas parce qu’ils sont kurdes ; nous appliquons les mêmes règles à tout le monde en ce qui concerne les objets interdits. »

Ces 3 000 Kurdes sont désormais l’objet de l’attention croissante de la droite nationaliste japonaise.

Tant et si bien que les politiciens, régulièrement mis sous pression par l’opinion publique, ont commencé à enquêter sur la raison de leur présence.

Personne jusque-là n’avait véritablement étudié l’affaire.

Il se trouve que ces Kurdes exploitent le système d’asile avec une audace et une insolence particulièrement outrancière.

DERNIÈRE MINUTE : Taro Kono appelle le Japon à suspendre son accord d’exemption de visa avec les détenteurs de passeports turcs afin de lutter contre l’immigration clandestine kurde à Kawaguchi.

Alors que les autorités discutent de la meilleure façon de régler cette situation, les intéressés (les Kurdes) ont décidé de se montrer sous leur meilleur jour, le jour que nous connaissons si bien, en traquant les responsables japonais en charge du dossier, dans leurs voitures de sport hors de prix acquises grâce à leur honnête labeur de “réfugiés” au chômage.

Ce n’est pas un hasard si deux catégories de nuisibles défendent les Kurdes dans le monde : les antifas et les juifs.

Qui se ressemble s’assemble.