La Rédaction
Démocratie Participative
01 mai 2025
L’argument le plus puissant contre le racisme (le seul en fait), c’est la connerie universelle des femmes.
Ces créatures sont parfaitement identiques, peu importe où.
Misha Agrawal, créatrice de contenu sur les réseaux sociaux, s’est suicidée, a révélé sa sœur dans un message publié sur Instagram. La nouvelle de la mort de l’influenceuse le 24 avril, quelques jours avant son 25e anniversaire, avait laissé ses fans et ses adeptes sous le choc.
Sa famille a partagé la nouvelle sur son compte Instagram officiel sans révéler la cause de sa mort soudaine. Aujourd’hui, sa sœur Mukta Agrawal s’est rendue sur Instagram pour révéler que l’influenceuse était profondément déprimée dans les mois qui ont précédé sa mort.
L’instagrameuse Misha Agrawal est décédée le 24 avril, quelques jours avant son 25e anniversaire (Instagram/themishaagrawalshow)
« Ma petite sœur avait construit son monde autour d’Instagram et de ses followers, avec pour seul objectif d’atteindre 1 million de followers et de gagner des fans aimants. Lorsque ses followers ont commencé à diminuer, elle est devenue désemparée et s’est sentie inutile. Depuis avril, elle était profondément déprimée, me serrant souvent dans ses bras et pleurant en disant : « Jijja, qu’est-ce que je vais faire si mes abonnés diminuent ? Ma carrière sera terminée », a-t-elle écrit dans un message publié sur le compte Instagram officiel de Misha.
Elle ne doutait de rien.
C’est quoi cette face en caoutchouc ?!
C’est ce que ressentent toutes les femmes à 30 ans. Et aussi celles qui font du cinéma, de la chanson, ou des trucs du genre.
C’est la norme.
Avant que cette société féministe n’émerge, boostée par les smartphones et internet, elles avaient un mari et des enfants à 25 ans.
Sans famille, une femme est vide. Si une femme veut donner un sens à sa vie, elle doit trouver un homme pour le lui donner.
Sans famille, elles deviennent toutes dépressives, et certaines finissent par réaliser qu’elles resteront seules pour toujours et se suicident.
Mukta Agrawal a également partagé que la créatrice de contenu avait une capture d’écran de son nombre de followers sur Instagram et YouTube comme fond d’écran de son téléphone. « Le fond d’écran de son téléphone dit tout. Son seul but dans la vie. Instagram n’est pas un monde réel et les followers ne sont pas un véritable amour, s’il vous plaît essayez de comprendre cela », a-t-elle écrit dans la légende du message.
Voyant Misha se débattre, Mukta a déclaré qu’elle essayait de la soutenir et a rappelé à sa jeune sœur de ne pas oublier que la création de contenu pour les médias sociaux n’était qu’un « travail d’appoint ».
Ha, ouais, il y a l’argent facile aussi pour acheter des conneries.
C’est le but de 99% des femmes.
Le 1% restant est purement théorique, elles sont toutes comme ça.
Misha, titulaire d’un diplôme de droit (LLB), se préparait aux examens de la Provincial Civil Services – Judicial (PCSJ). « Je lui ai rappelé ses talents, son diplôme de droit et sa préparation au PCSJ, en lui disant qu’elle deviendrait juge un jour et qu’elle n’avait pas besoin de s’inquiéter pour sa carrière », a-t-elle écrit.
Le nombre de traînées dans la magistrature mondiale qui se vengent sur les hommes est stratosphérique.
Heureusement que cette garce est morte, elle aurait poussé au suicide des tas de pajeets.
Enfin, moins il y a de pajeets, mieux c’est, mais vous me suivez.
Mukta a ajouté que la famille avait exhorté Misha à se concentrer sur le bonheur : « Je l’ai exhortée à se débarrasser de l’anxiété et de la dépression. Malheureusement, ma petite sœur n’a pas écouté et s’est tellement intéressée à Instagram et aux followers qu’elle a quitté notre monde pour toujours. Tragiquement, elle a été tellement accablée qu’elle s’est suicidée, laissant notre famille dévastée », a-t-elle déclaré.
J’avais oublié l’élément essentiel sous-jacente à toute l’histoire : l’égoïsme morbide des femmes.
Pour rendre l’histoire plus drôle encore, il faut rappeler que ces gens sont hindous. Ils croient à la réincarnation. Comme dans un jeu vidéo, il faut recommencer le niveau quand on perd (quand on meurt avec un karma merdique), mais si on perd salement, on doit recommencer depuis beaucoup plus bas, avec des handicaps, ce qui rend le tout encore plus dur, avec encore plus de chances de rater, etc..
En l’espèce, en Inde, ce serait une nouvelle vie au sein d’une caste inférieure, à se nourrir de déchets et de rats morts trouvés dans les ruelles d’un bidonville de New Delhi, ou d’une province plus ignoble encore.
Mais avant ça, il faut passer par les 28 enfers hindous.
On boue dans des excréments, on vous scie la tête, on vous fait dévorer par des bêtes sauvages.
Pour sa famille, cette fille est vouée à errer prisonnière dans ces enfers dans un état de souffrance indicible avant d’espérer se réincarner dans une pouilleuse très inférieure.
Et quoi qu’il en soit, ils ne la reverront jamais.
Imaginez ça.
Remarquez que les Chrétiens pensent que le suicide est la voie directe vers l’Enfer, mais pour l’éternité. Des démons y tourmentent leurs victimes pour des milliards de milliards d’années, avant de recommencer, sans fin. Et Yeshoua regarde ça du paradis.
L’hindouisme est donc un tout petit moins sadique pour ses adeptes.
Mais oui, cette pute aurait dû trouver un type avec un turban comme ils en ont là-bas et se marier avec, lol.
Sur une touche plus légère, en Inde ils construisent leurs villes sur les montagnes de déchets et de déjections qu’ils produisent. C’est théoriquement dans un de ces taudis que cette instagrameuse renaîtra après l’équivalent cosmique de 3 millions d’années en enfer.