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La Rédaction
Démocratie Participative
\n07 juin 2025
C’était l’Aïd hier en Fronsse.
Dans un parking, des jeunes de cité tombent sur un mouton égaré. Amusés, ils se lancent à sa poursuite, l’animal est en panique… pic.twitter.com/MMc42moJSZ
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La réaction typique de la droite (schématiquement) est de vociférer.
Ces mêmes gens qui vocifèrent sont, pour la plupart, des adeptes de la démocratie de marché qui conditionne le salariat féminin, le féminisme, la dénatalité et l’immigration de masse qui en découle pour répondre aux besoins des “métiers en tension” d’une économie de service en expansion constante.
Ce sont aussi des gens viscéralement individualistes, produit culturel, voire anthropologique, inéluctable de la société de consommation qui organise l’ordre social autour de la satisfaction des besoins primaires de l’individu.
En d’autres termes, ceux qui aboient contre ces masses islamiques qui prolifèrent chez nous aiment trop leurs vices pour vouloir bouleverser la société qui cause naturellement cette prolifération.
Les hommes blancs domestiqués par la démocratie veulent aussi que les femmes portent le pantalon. Ils récoltent logiquement une magistrature composée à 80% de pétasses “libérées” qui s’empressent de défendre les mâles basanés dont le potentiel de violence sexuelle primitive les fait mouiller.
Telle atteinte à l’ordre cosmique, puisque l’homme suit les lois du cosmos, ce que le monde aryen savait, ne peut qu’être brutalement sanctionné par ce même ordre intangible.
Ce n’est certainement pas le culte du Nazaréen, cloué sur ses deux planches de bois, avec son clergé nègre, son pape mulâtre et ses vieilles chaisières, qui sera d’un quelconque secours à l’homme blanc émasculé.
Il lui faut quelque chose de supérieur et d’archaïque, exhumer la vérité qui sommeille dans ses gènes, pour qu’il retrouve ses instincts étouffés par la démocratie.
Pour restaurer l’ordre, c’est-à-dire le beau et le vrai, il doit renouer avec l’Aryanité fondamentale et faire la volonté des dieux blancs.
Le ciel au-dessus de la steppe recouverte d’herbes à plumes en Ukraine. Dyḗus ph₂tḗr a été traduit du proto-aryen par « père dieu du ciel et de la lumière du jour ».
