La Rédaction
Démocratie Participative
\n18 juin 2025
Les femmes sont intrinsèquement démoniaques et c’est justement pour cette raison que nos ancêtres les privaient de droits.
À présent que nous vivons en vaginocratie, ces créatures maléfiques donnent libre cours à leur monstruosité. Mois après mois, elles innovent dans la barbarie.
Les femmes ne seront plus poursuivies pour avoir interrompu leur grossesse à n’importe quel stade jusqu’à la naissance.
Les députés ont voté à une majorité de 242 voix en faveur de la dépénalisation de l’avortement à n’importe quel stade de la grossesse et pour n’importe quelle raison, ce qui signifie que les femmes ne feront plus l’objet d’une enquête ou d’une arrestation pour avoir avorté.
L’avortement en Angleterre et au Pays de Galles est un délit pénal, mais il est légal auprès d’un prestataire agréé jusqu’à 24 semaines, avec des circonstances très limitées permettant de le pratiquer après ce délai.
Dans ce royaume damné d’Angleterre, les traînées peuvent tuer leurs enfants jusqu’à 6 mois.
À cet âge, ils sont viables et développés, et sont bercés par la voix de leurs mères.
Mais cette politique d’extermination de masse n’est pas suffisante pour ces chiennes infernales.
Elles veulent les tuer jusqu’au dernier jour, en toute impunité.
Il est également possible de prendre des médicaments prescrits à domicile si la femme est enceinte de moins de 10 semaines.
La loi de 1861 sur les atteintes à la personne, qui interdit l’avortement, va être modifiée afin qu’elle ne s’applique plus aux femmes qui mettent fin à leur grossesse.
La loi de 1967, qui autorise les avortements après 24 semaines s’ils ont été approuvés par deux médecins et s’il existe un risque pour la santé physique ou mentale de la femme, ou si l’enfant risque de naître avec des anomalies graves, ne sera pas affectée.
Tonia Antoniazzi, députée travailliste, a déclaré que la loi actuelle sur l’avortement était « dépassée » et a ajouté : « Ce n’est pas justice. C’est de la cruauté, et cela doit cesser. »
Elle a déclaré aux députés : « Veillons à ce qu’aucune femme désespérée ne soit plus jamais soumise à une enquête criminelle traumatisante au pire moment de sa vie. ».
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Les députés critiques ont déclaré que ce changement augmenterait le nombre d’avortements, d’interruptions de grossesse clandestines et dangereuses, et ouvrirait la voie à des avortements sélectifs en fonction du sexe.
Cette déclaration fait suite à l’annonce de Sir Keir Starmer indiquant qu’il soutiendrait une modification de la loi. L’amendement a été soumis à un vote libre, afin que les députés de tous les partis puissent voter selon leur conscience.
Interrogé sur la manière dont il aurait voté s’il n’avait pas été au Canada pour le sommet du G7, le Premier ministre a déclaré aux journalistes : « Ma position de principe de longue date est que les femmes ont le droit à un avortement sûr et légal, et c’est ma position depuis longtemps. »
Mais Shabana Mahmood, la ministre de la Justice, a qualifié l’amendement d’« extrême ».
La Society for the Protection of Unborn Children (Société pour la protection des enfants à naître) a qualifié cette modification de la loi de « barbare ».
Elle a déclaré : « Notre loi sur l’avortement, déjà très libérale, permet de tuer environ 300 000 bébés par an. Aujourd’hui, même la protection très limitée offerte par la loi est supprimée. »
L’amendement de Mme Antoniazzi vise à « supprimer l’application du droit pénal existant en matière d’avortement pour les femmes agissant en relation avec leur propre grossesse, quel que soit le stade de gestation, afin d’éliminer la menace d’enquête, d’arrestation, de poursuites ou d’emprisonnement ».
Six femmes ont été poursuivies au cours des trois dernières années pour avoir mis fin ou tenté de mettre fin à leur grossesse en dehors du cadre de la loi sur l’avortement.
Cette société occidentale féministe qui légalise le dépeuplement structurel ne peut pas tenir.
Aucun pays ne peut détruire 300 000 enfants à naître chaque année pour permettre à des putes d’écarter les cuisses. Le vieillissement brutal qui en découle, combiné à la natalité hors de contrôle des masses afro-orientales, pave la voie à la disparition pure et simple des nations blanches d’ici la deuxième moitié de ce siècle, en Grande-Bretagne comme ailleurs.
Cela dépend non pas de ces traînées, mais des hommes blancs.
Et c’est là que se situe le problème : les hommes blancs sont féministes, globalement dénués de volonté, encore moins de celle de dominer les femmes avec une poigne de fer et de leur dicter leur conduite comme il se doit dans une société normale.
Pour cette raison, ce n’est que le début du chaos apocalyptique qui va engouffrer l’Europe.
Dans cette guerre raciale totale qui ouvre le troisième millénaire, tout enfant blanc avorté est un soldat de moins, un penseur de moins, un artiste de moins. Il n’y a pas plus grave crime que de priver l’Europe d’un génie en devenir.