Driss Ettazaoui : “Les Blancs sont l’anti-France” – Démocratie Participative

Driss Ettazaoui : “Les Blancs sont l’anti-France”

La Rédaction
Démocratie Participative
\n08 juin 2025

 

Les migrants blancs vont devoir dégager de France, car les Français sont très remontés.

Français, voilà le visage perfide de l’ennemi (Bougnoule random sur BFMTV)

C’est typiquement le genre de situation où je dois dire : “Je vous l’avais bien dit”.

99% des Français de sang (“de souche”) n’ont aucune espèce de conception saine et claire de ce qu’est une nationalité. Il n’est pas surprenant de voir les métèques exploiter sans vergogne leur insondable crédulité à ce sujet.

Les Français croient que leur nationalité se résume à une CNI et à remplir sa feuille d’impôt en temps et en heure. Les plus audacieux estiment tout au mieux qu’être français consiste pour les femmes à pouvoir montrer leurs culs et pour les hommes à manger du saucisson et à boire du pinard.

Et bien sûr, le droit inaliénable à la Sécurité Sociale.

En d’autres termes, les Français pensent que leur nationalité est un acte administratif adossé à un règlement de copropriété auquel le dernier nègre a le droit.

Car la France est un droit de l’homme.

Convenons que cette déstructuration mentale n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’une brutale rééducation entreprise par le régime républicain, ses juifs, ses loges, ses marxistes, ses démagogues, ses pleutres, pour faire triompher la “démocratie” universelle, système conçu par et pour les métèques au dessus duquel règne impitoyablement la finance juive.

Je veux bien convenir que Maurras, malgré tous les défauts de sa pensée et les légitimes réserves que son phénotype commandent à l’homme blanc, ait tenté d’empêcher la république de dévorer vive la France, de la dissoudre, afin de sauver le peuple français — dirons-nous franc et gallo-romain –, de l’éradication complète, en rappelant aux Français que la France, pour exister, ne peut se penser qu’en tant qu’entité organique et historique, unissant un peuple donné à une terre donnée, et non pas comme un fatras de lois et de décrets aux mains d’une froide bureaucratie et d’avocats juifs.

L’ennui pour Maurras, c’est que la nationalité française était vérolée dès sa création, à Valmy.

Courage, soldats, et dans deux siècles, des nègres baiseront nos filles !

Une nationalité qui n’est que le masque d’une religion maçonnique se proposant d’émanciper les nègres (1794) et les juifs (1791) au nom de l’égalité universelle, n’est, au mieux, qu’une épouvantable imposture, une contrefaçon hideuse, qui ne peut manquer de s’effondrer sur le coin de la gueule des passants à la moindre bourrasque.

L’antidote est connu : le racisme !

Et le racisme blanc opère partout où les Blancs se trouvent, abolissant du même mouvement les frontières obsolètes des vieux états démocratiques.

Il fâche toutes les bourgeoisies, bouscule tous les réflexes, démonétise toutes les idées.

Voilà une “internationale” qui vaut enfin la peine, transversalité toute de fraternité raciale contre les ennemis des peuples blancs.