La Rédaction
Démocratie Participative
\n26 juin 2025
La terreur anti-blanche s’intensifie au pays de Johann Goethe et d’Adolf Hitler
La STASI est de retour en Allemagne.
Cette organisation néo-marxiste persécute comme jamais les honnêtes citoyens allemands qui se lamentent de la folle submersion du pays par le tiers-monde sous l’oeil amusé des politiciens.
Mercredi matin à 6 heures, une opération policière de grande envergure a été lancée dans toute l’Allemagne, visant des centaines de personnes soupçonnées d’avoir insulté des politiciens ou propagé « la haine et l’incitation à la violence » en ligne.
Au cours de cette vaste opération, la police a mené des perquisitions matinales contre 170 personnes, saisissant des ordinateurs, des téléphones portables et des tablettes, et effectuant des fouilles dans plusieurs endroits à travers le pays.
Cette opération, menée par l’Office fédéral de police criminelle (BKA), s’appuie sur le nouvel article 188 du code pénal pour cibler les personnes accusées de racisme et de discours haineux.
Le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Herbert Reul (CDU), qui a connu une augmentation massive de la criminalité dans son Land ces dernières années, notamment des crimes violents et des agressions à l’arme blanche commis par des étrangers, s’est félicité des raids policiers.
« Les incendiaires numériques ne doivent pas pouvoir se cacher derrière leurs téléphones portables ou leurs ordinateurs », a-t-il déclaré.
Son Land a mené 14 des quelque 130 opérations menées à l’échelle nationale lors d’une « journée d’action » contre les publications haineuses.
La classe politique démocratique est plus soucieuse de la rumeur populaire que de l’invasion en cours, où des sévices qu’infligent les homosexuels aux enfants qu’ils kidnappent sous couvert “d’adoption”.
L’Allemagne a besoin d’une véritable police du peuple chargée de le protéger de tous les fléaux démocratiques : juifs, sodomites, francs-maçons, métèques, et autres marxistes. Sans parler des journalistes.
Bref, d’une nouvelle Gestapo.
Sans Gestapo, le peuple agonise sous les attaques des ferments de destruction sociale dont les politiciens sont les plus viles représentants.
Imaginez si au lieu d’arrêter les honnêtes, une police dirigée par des Nazis arrêtaient les politiciens du système pour les traîner dans les tribunaux afin de les juger pour l’invasion qu’ils ont organisée.
Et imaginez qu’ils soient condamnés à mort et exécutés.
Le peuple serait fou de joie.
Contrairement à la STASI communiste en Allemagne de l’Est, elle ne comptait que quelques milliers de membres car elle n’espionnait pas le peuple, mais les véritables ennemis du peuple que sont les minorités subversives citées plus haut.
Au passage, on lira avec grand intérêt l’ouvrage de Vincent Reynoaurd “Gestapo, justice pour une police calomniée” qui dissipe les nombreux mensonges dont ce bouclier de la race aryenne est la victime depuis si longtemps.